Nos réussites
Le rebond d’un CEO autour d’un projet porté par un fonds d’investissement
Grégory, 51 ans, CEO
Le contexte
Ingénieur de formation (École navale puis Supaéro suivi d’un MBA), Grégory a débuté sa carrière par dix ans dans la Marine nationale à des directions de services techniques et de programmes. Il passe les cinq années suivantes au poste de Directeur du développement dans une PME spécialisée dans les équipements électroniques du secteur aéronautique / défense. Enfin ces huit dernières années, Grégory a travaillé dans un petit groupe industriel entrepreneurial avec des filiales à l’étranger opérant dans le même secteur que celui de sa précédente entreprise. Une société ayant un fondateur et actionnaire unique. Il y occupe successivement des responsabilités de Directeur général de filiale, Directeur général délégué Groupe, puis Président du Directoire. Partout où Grégory est passé, ses talents de gestionnaire, de manager et d’organisateur ont été remarqués. Pourtant, le fondateur décide soudain de se séparer de lui pour reprendre les rênes de son groupe. Cette décision va se traduire par une période très difficile pour Grégory dans un contexte d’isolement et de harcèlement la dernière année. Il fait un burnout. Il n’a dès lors pas d’autre choix pour préserver sa santé et son équilibre que de négocier un départ.
Les enjeux
Grégory sort exsangue de cette expérience. Son niveau d’énergie est au plus bas et il a beaucoup de mal à expliquer et à s’expliquer les raisons de son départ. Il se demande s’il a « raté quelque chose pour justifier cette mise soudaine à l’écart. Pourquoi n’ai-je pas vu venir les signes annonciateurs de cette disgrâce ? ». Il s’interroge sur sa capacité à être un vrai numéro 1. Ne lui manque-t-il pas quelque chose pour être autonome ?
« N’ayant pas beaucoup de réseau que j’ai perdu de vue depuis un certain temps, comment vais-je faire pour retrouver un job ? ».
Jusqu’alors, on était toujours venu le chercher. Il se ressaisit toutefois et veut absolument éviter ce genre de mésaventure violente à l’avenir. Il réfléchit ainsi aux secteurs porteurs pour lui en fonction de sa courbe d’expérience. Cette période de transition professionnelle durera neuf mois, incluant les trois mois de son préavis qu’il effectuera jusqu’au bout. Grégory s’appuie alors beaucoup sur ceux qui comptent pour lui : son épouse et ses amis mais aussi son coach.
« Sur toutes mes interrogations et besoins qu’ils soient techniques ou psychologiques, mon coach EOS était au rendez-vous avec des conseils, des mises en relation pointues et une bienveillance énergisante dont j’avais besoin ».
Il reprend enfin confiance en lui et se dote de nouvelles armes pour faire face aux types de situations qu’il a traversées. Il clarifie enfin son ambition réelle basée notamment sur une plus grande autonomie dans la conduite du business.
Le nouveau poste
À la suite d’un travail d’optimisation de son profil Linkedin, Grégory est contacté par un chasseur de têtes. Ce dernier opère pour le compte d’une entreprise de fabrication d’engins maritimes à destination de professionnels et d’administrations françaises et internationales, clientèle BtoB qu’il pratique depuis longtemps. Le fonds d’investissement qui détient cette société recherche un CEO.
« Mon coach m’a parfaitement guidé pour mes entretiens d’embauche et ma négociation de salaire avec le fonds d’investissement ».
Grégory obtient en effet le poste avec un salaire légèrement supérieur au précédent et assorti d’un LBO package LBO très attractif.
Ce qui a fait la différence
- Sa force vitale, il a su tenir bon malgré les obstacles.
- Sa résilience et sa volonté de s’en sortir.
- Son refus de l’injustice.
- Son épouse qui a veillé sur sa santé lors de son burnout.
- Sa valeur professionnelle démontrée par ses résultats.